Publié le 19 novembre 2018.
(IMPARTIAL ACTU)- Au Togo, un scandale sexuel éclabousse actuellement l’Eglise catholique. Au cœur de ce scandale, l’abbé Pierre Marie-Chanel Affognon, Directeur diocésain de l’enseignement catholique. Des accusations incessantes sont faites par plusieurs personnes sur cet homme d’église. Il lui est reproché de tenir des relations sentimentales et intimes avec plusieurs fidèles.
Entre autres, Jacqueline Atah qui est sollicitée régulièrement pour officiellement faire le ménage. Mais en fait, c’est juste un appât *pour* le prêtre *qui* la harcèle et obtient d’elle des faveurs sexuelles. D’où son insistance pour qu’elle fasse le ménage seulement dans la soirée voire la nuit. Il insiste souvent pour qu’elle passe la nuit avec lui.
Sur la liste noire du prêtre férocement sexuel, figure également la religieuse Clarisse Kpépé. Originaire de Kouvé, elle est étudiante à l’Ecole de formation sociale promotion et développement humain. Elle est particulièrement préférée par l’abbé qui lui adresse plus qu’à toutes les autres, des invitations.
La rwandaise Violette Mukabigaruka, dont il apprécie particulièrement les photos de nu et les sextape, connaît certainement les performances érotiques du supposé homme de Dieu.
La Sœur Valérie et Aïcha Atchana, la secrétaire du mouvement politique que le prêtre dirige peuvent aussi faire la litanie des nuisances sexuelles de Pierre Marie-Chanel Affognon, qui cache apparemment sous sa soutane une mitraillette érotique.
Le danger dans ce dossier, c’est qu’il est le directeur diocésain de l’enseignement catholique. Autrement dit, il a la gestion de centaines de jeunes adolescentes qui sont exposées à son activisme sexuel. Les victimes dans leur rang n’hésiteront plus à se faire entendre.
La Rédaction
