Par la Rédaction le 18 Février 2021
(IMPARTIAL ACTU)- Un professeur de l’IAEC (Institut Africaine d’Administration et d’Etude Commerciales) en fonction à l’Université de Lomé, s’est donné la mort mercredi dans les locaux de l’Institut sis au quartier Adéwui à Lomé. L’information a fait le buzz sur les réseaux sociaux et a notamment été reprise par certains médias en ligne très crédibles.
Si l’on maîtrise avec certitude le lieu du forfait ! puisque le disparu en question, s’est donné la mort suite à une chute libre depuis le 5ème étage de l’immeuble de l’IAEC, il est indéniable que d’aucuns pensent que la faute serait imputable aux responsables de l’Institut.
Mais en réalité, l’Université privée de Kagbara Bassabi, n’a rien avoir avec cet acte libre conduisant à ce drame.
“Après avoir pris des substances acides, cet ancien professeur de l’IAEC en fonction à l’Université de Lomé, s’est donné la mort en sautant du 5eme étage de l’immeuble de l’IAEC”, indiquent des responsables de l’IAEC.
Face à cette sortie faite par les responsables de l’IAEC, il urge de se poser des questions. Quelles sont les raisons qui ont motivé un tel acte ? Pourquoi le choix de l’IAEC pour commettre cet acte ?
Selon nos informations de sources sûres, le drame à l’IAEC fait partie d’un plan de suicide établi par deux professeurs de l’Université de Lomé. En réalité, il y’ a eu deux drames qui se sont produits dans cette journée de mercredi 17 février 2021.
Outre celui de l’IAEC, un professeur de l’UL s’est donné la mort dans cette même journée au village du Bénin.
“Pour l’heure, nous ne pouvons pas donner assez de détails sur les raisons de ces morts subites. Mais il faut noter que ces deux professeurs ont volontairement décidé de quitter le monde des vivants pour des raisons personnelles”, circonstancient les responsables de l’IAEC.
Selon ces derniers, l’IAEC qui demeure une université privée de référence au Togo et en Afrique, n’est aucunement liée à cette tragique situation.
Pour mémoire, l’un de ces deux professeurs a laissé une note donnant les raisons de son acte. Cette lettre se trouve actuellement dans les mains des autorités policières.