Par Impartial Actu le 20 Avril 2020.
(IMPARTIAL ACTU)- De 2010 à 2018 pour la construction et/ou la réhabilitation des routes, les pouvoirs publics du Togo ont dépensé près de 1000 milliards de francs CFA. Cet engagement s’inscrit dans la dynamique visant à faire du Togo, un véritable hub. Raison pour laquelle, le pays s’est résolument engagé à améliorer l’état des infrastructures routières, gage de développement socioéconomique.
Dans cette dynamique, au cours des cinq (05) prochaines années, les pouvoirs publics, comptent débloquer la même somme pour le même objectif : améliorer le réseau routier.
Cette détermination qui cadre avec les Objectifs de développement durable (ODD) a séduit des partenaires techniques et financiers qui se sont ralliés à la cause. Parmi eux, la Banque africaine de développement qui a financé le Projet de réhabilitation de la route Lomé-Cotonou et l’équipement du poste de contrôle juxtaposé Hillah Condji et Sanvee Condji. Quelles sont les retombées socioéconomiques de ces ouvrages ?
En effet, les travaux de construction de la route Lomé-Cotonou ont été financés par la Banque africaine de développement (BAD) à hauteur de 109 millions de dollars américains.
L’objectif est de désengorger le trafic routier, réduire les coûts qui y sont liés, répondre aux problèmes des transporteurs routiers, fluidifier les échanges commerciaux entre les deux pays et favoriser le brassage culturel.
Victorien Lesage