Par René DOKOU, le 31 Octobre 2024
(IMPARTIAL ACTU)- Il est observé des évolutions remarquables dans le secteur agricole, la colonne vertébrale de l’économie togolaise. Moteur de développement, l’agriculture profite des réformes, des investissements et des initiatives mises en œuvre par le gouvernement, accompagné par ses partenaires.
La Banque islamique de développement (BID) est l’un d’entre eux. Elle met toujours la main à la poche, subjuguée par les efforts du pays.
La sécurité alimentaire étant l’un des facteurs de progrès, le chef de l’État Faure Essozimna Gnassingbé a pris sur lui de toujours motiver son gouvernement à privilégier la production nationale et la consommation des produits locaux. « Nous voulons consommer ce que nous produisons », faisait-il savoir tout récemment.
L’embellie remarquée dans le secteur est la résultante de la stratégie de transformation progressive d’une agriculture de subsistance vers une agriculture commerciale et mécanisée. Ce virage rend le secteur plus productif, rentable et résilient face aux aléas climatiques.
Appuis déterminants de la BID
Le pays bénéficie du soutien de la Banque islamique de développement (BID). Le 14 octobre 2024, l’institution a approuvé un financement de 60 millions de dollars en faveur du Togo, ce qui revient à plus de 36 milliards de francs CFA.
Le montant est destiné à améliorer la qualité de vie des populations les plus vulnérables, à travers un soutien davantage élevé pour la productivité agricole et pour les activités génératrices de revenus des ménages d’agriculteurs.
En septembre 2023 déjà, la même banque avait renforcé son engagement au Togo. Elle a approuvé un décaissement de 84 milliards de francs CFA non pas pour le secteur agricole, mais pour aider le pays dans sa lutte pour la protection côtière.